Faculté Libre d'Astrologie de Paris (FLAP)

Le but de ce blog est lié à la création en 1975 du Mouvement Astrologique Universitaire (MAU) . Il sera donc question des passerelles entre Astrologie et Université mais aussi des tentatives de constituer des enseignements astrologiques.
Constatant les lacunes des astrologues dans le domaine des
sciences sociales (hommes et femmes, structures
nationales et supranationales etc), la FLAP assurera à ses
étudiants des connaissances de première main et les plus
récentes qui leur serviront de socle pour appréhender
l'astrologie et en repenser les contours.
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jeudi 15 juin 2017

jacques Halbronn Les additions successives du premier volet des Centuries


Les additions successives du premier volet des Centuries
par  Jacques Halbronn


Une des preuves du caractère antidaté des éditions 1557 et 1568 tient au fait que les marques d'addition n'y figurent pas. Certes, pour quelqu'un qui n'a pas pris connaissance des éditions ligueuses, cela ne pourra etre relevé. Mais la thèse selon laquelle les éditions ligueuses seraient issues de l'édition 1557 Antoine du Rosne ne peut raisonnablement tenir car on voit mal pourquoi l'on aurait indiqué des additions qui n'auraient pas existé précédemment. Cette tendance à supprimetr les marques additionnelles dans le corps de l'ouvtrage vient compléter nos observations conecrnant les pages de titre.
Or, l'on observe que l'édition à 7 centuries parue à Anvers (celle de Rouen nous étant parvenue tronquée) se présente comme d'un seul tenant et renvoie à une prétendue édition d'Avignon 1555, laissant carrément entendre que dès 1555 les 7 centuries auraient déjà été publiées. « imprmées premièrement en Avignon par Pierre Rou Imptimeur du Légat en l'an mil cinq cens cinquante cinq ./ Avec privilège du dit Seigneur »
Les éditions parisiennes de la même période ont donc précédé celles de Rouen, ce qui nous améne à penser que la série Rouen-Anvers ces Grandes et Mervilleieses prédictions serait antidatée. C'est en tout cas, cette série qui aura servi pour produire les éditions Du Rosne,dautant que l'on y trouve la même formule « dont il en y a »
Robert Benazra a restitué le découpage des éditions parisiennes – sans en tirer d'ailleurs la moindre conclusion d'ordre chronologique RCN, pp. 118 et seq)
Prophéties de M . Nostradamus afioustées outre les précédentes éditions . Centurie quatre suivent les quatrains 54 à 100
Prophéties de M. Nostradamus adioustées nouvellement. Centurie septieme. Préisions que si le titre indique une addition à la « dernière centurie » de 39 « articles », on ne retrouve pas un tel nombre au niveau du contenu, ce qui montre que l'on a raison de considérer les éditions parisiennes comme défectueyses, mais non pas au regard d'une édition 1557 retrouvée mais d'une édition perdue parue sous la Ligue.Les éditeeutrs modernes de l'éditon Antoine du Rosne (Bibl Budapest) ne se sont pas encombréd de tels « détails »., s'en tenant à une logique chronologique au premier degré – qui reléve d’un simple principe commode de classement alpha-numérique - n'envisageant pas la possibilité de l'antidatation.
Ajoutons que tout se passe comme si l'édition 1557 comme celle de 1590 Anvers voulaient passer sous silence le premier jet de 4 centuries tout comme d'ailleurs, le stade à six centuries s'achevant par un avertissement en latin, dosparu dans l 'édition Anvers 1590 . On aurait ainsi voulu occulter la publication Rouen Du Petit Val de 1588 dont le titre signale bien «quatre centuries ».. Ainsi, non seulement, l'on produit des éditions antidatées mais en outre, l'on tend à supprimer la trace d'éditions récemment parues. Et cependant, on n'en trouve pas moins une édition antidatée à 4 centuries Macé Bonhomme 1555 mais cette fois sans indication de contenu au tirre ?
Quant aux éditions Benoit Rigaud 1568, en dehors de la divisuin en 2 volets et en 2 épitres, il ny figure aucune indication quant aux additions successives au sein du premier volet. Ces éditions bien trop parfaites , « achevées » et « polies » pour être honnêtes nous apparaissent donc non pas comme premières mais ultimes., au prisme d’une révolution copernicienne s’inscrivant non dans l’espace mais dans le temps, par rapport à notre époque prise comme centre. Les premiers seront les derniers.
Toute recherche débouche à un certain stade sur des chaînons manquants car il est dans l’ordre des choses qu’il y ait de la perte mais aussi de l’ajout, lequel tend à compenser la perte. Les vraies premières éditions des Centuries ne nous sont pas parvenues sous leur forme originale, première. On ne les connaît que par des biais, par des traces. On peut avant tout affirmer leur absence puisqu’il faut bien une source aux éléments dont nous disposons. Ces éditions « X » qu’il faut dater autour de 1588-1589-1590 auront généré d’abord ce qui ressort des éditions parisiennes portant ces mêmes dates puis, dans un deuxiéme temps les éditions de Rouen et d’Anvers, également porteuses des mêmes dates et dans un troisiéme temps le premier volet de l’édition de Cahors 1590 qui aura servi pour les éditions antidatées -1557-1568. Evidemment, la question qui se pose et que nous n’entendons pas résoudre ici est celle de la « vraie » chronologie de toutes ces éditions dérivées d’une édition inconnue ! Est-ce que les dates affichées par les éditions de 1588-1590,tant de Paris que de Rouen sont fiables  ou bien ne font-elles que reprendre les pages de titre des « vraies » éditions ?
s serait antidatée. C'est en tout cas, cette série qui aura servi pour produire les éditions Du Rosne,dautant que l'on y trouve la même formule « dont il en y a »

Robert Benazra a restitué le découpage des éditions parisiennes – sans en tirer d'ailleurs la moindre conclusion d'ordre chronologique RCN, pp. 118 et seq)
Prophéties de M . Nostradamus afioustées outre les précédentes éditions . Centurie quatre suivent les quatrains 54 à 100
Prophéties de M. Nostradamus adioustées nouvellement. Centurie septieme. Préisions que si le titre indique une addition à la « dernière centurie » de 39 « articles », on ne retrouve pas un tel nombre au niveau du contenu, ce qui montre que l'on a raison de considérer les éditions parisiennes comme défectueyses, mais non pas au regard d'une édition 1557 retrouvée mais d'une édition perdue parue sous la Ligue.Les éditeeutrs modernes de l'éditon Antoine du Rosne (Bibl Budapest) ne se sont pas encombréd de tels « détails »., s'en tenant à une logique chronologique au premier degré – qui reléve d’un simple principe commode de classement alpha-numérique - n'envisageant pas la possibilité de l'antidatation.
Ajoutons que tout se passe comme si l'édition 1557 comme celle de 1590 Anvers voulaient passer sous silence le premier jet de 4 centuries tout comme d'ailleurs, le stade à six centuries s'achevant par un avertissement en latin, dosparu dans l 'édition Anvers 1590 . On aurait ainsi voulu occulter la publication Rouen Du Petit Val de 1588 dont le titre signale bien «quatre centuries ».. Ainsi, non seulement, l'on produit des éditions antidatées mais en outre, l'on tend à supprimer la trace d'éditions récemment parues. Et cependant, on n'en trouve pas moins une édition antidatée à 4 centuries Macé Bonhomme 1555 mais cette fois sans indication de contenu au tirre ?
Quant aux éditions Benoit Rigaud 1568, en dehors de la divisuin en 2 volets et en 2 épitres, il ny figure aucune indication quant aux additions successives au sein du premier volet. Ces éditions bien trop parfaites , « achevées » et « polies » pour être honnêtes nous apparaissent donc non pas comme premières mais ultimes., au prisme d’une révolution copernicienne s’inscrivant non dans l’espace mais dans le temps, par rapport à notre époque prise comme centre. Les premiers seront les derniers.
Toute recherche débouche à un certain stade sur des chaînons manquants car il est dans l’ordre des choses qu’il y ait de la perte mais aussi de l’ajout, lequel tend à compenser la perte. Les vraies premières éditions des Centuries ne nous sont pas parvenues sous leur forme originale, première. On ne les connaît que par des biais, par des traces. On peut avant tout affirmer leur absence puisqu’il faut bien une source aux éléments dont nous disposons. Ces éditions « X » qu’il faut dater autour de 1588-1589-1590 auront généré d’abord ce qui ressort des éditions parisiennes portant ces mêmes dates puis, dans un deuxiéme temps les éditions de Rouen et d’Anvers, également porteuses des mêmes dates et dans un troisiéme temps le premier volet de l’édition de Cahors 1590 qui aura servi pour les éditions antidatées -1557-1568. Evidemment, la question qui se pose et que nous n’entendons pas résoudre ici est celle de la « vraie » chronologie de toutes ces éditions dérivées d’une édition inconnue ! Est-ce que les dates affichées par les éditions de 1588-1590,tant de Paris que de Rouen sont fiables  ou bien ne font-elles que reprendre les pages de titre des « vraies » éditions ?
de considérer les éditions parisiennes comme défectueyses, mais non pas au regard d'une édition 1557 retrouvée mais d'une édition perdue parue sous la Ligue.Les éditeeutrs modernes de l'éditon Antoine du Rosne (Bibl Budapest) ne se sont pas encombréd de tels « détails »., s'en tenant à une logique chronologique au premier degré – qui reléve d’un simple principe commode de classement alpha-numérique - n'envisageant pas la possibilité de l'antidatation.

Ajoutons que tout se passe comme si l'édition 1557 comme celle de 1590 Anvers voulaient passer sous silence le premier jet de 4 centuries tout comme d'ailleurs, le stade à six centuries s'achevant par un avertissement en latin, dosparu dans l 'édition Anvers 1590 . On aurait ainsi voulu occulter la publication Rouen Du Petit Val de 1588 dont le titre signale bien «quatre centuries ».. Ainsi, non seulement, l'on produit des éditions antidatées mais en outre, l'on tend à supprimer la trace d'éditions récemment parues. Et cependant, on n'en trouve pas moins une édition antidatée à 4 centuries Macé Bonhomme 1555 mais cette fois sans indication de contenu au tirre ?
Quant aux éditions Benoit Rigaud 1568, en dehors de la divisuin en 2 volets et en 2 épitres, il ny figure aucune indication quant aux additions successives au sein du premier volet. Ces éditions bien trop parfaites , « achevées » et « polies » pour être honnêtes nous apparaissent donc non pas comme premières mais ultimes., au prisme d’une révolution copernicienne s’inscrivant non dans l’espace mais dans le temps, par rapport à notre époque prise comme centre. Les premiers seront les derniers.
Toute recherche débouche à un certain stade sur des chaînons manquants car il est dans l’ordre des choses qu’il y ait de la perte mais aussi de l’ajout, lequel tend à compenser la perte. Les vraies premières éditions des Centuries ne nous sont pas parvenues sous leur forme originale, première. On ne les connaît que par des biais, par des traces. On peut avant tout affirmer leur absence puisqu’il faut bien une source aux éléments dont nous disposons. Ces éditions « X » qu’il faut dater autour de 1588-1589-1590 auront généré d’abord ce qui ressort des éditions parisiennes portant ces mêmes dates puis, dans un deuxiéme temps les éditions de Rouen et d’Anvers, également porteuses des mêmes dates et dans un troisiéme temps le premier volet de l’édition de Cahors 1590 qui aura servi pour les éditions antidatées -1557-1568. Evidemment, la question qui se pose et que nous n’entendons pas résoudre ici est celle de la « vraie » chronologie de toutes ces éditions dérivées d’une édition inconnue ! Est-ce que les dates affichées par les éditions de 1588-1590,tant de Paris que de Rouen sont fiables  ou bien ne font-elles que reprendre les pages de titre des « vraies » éditions ?

JHB  15. 06 17

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